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Zadig et Voltaire


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Zadig et Voltaire est une marque française de prêt-à-porter, créée en 1995 par Thierry Gillier, petit-fils d’André Gillier, le cofondateur de l’entreprise Lacoste.

Histoire
Le nom de la marque est tiré du roman de Voltaire, Zadig ou la Destinée : le personnage principal, Zadig, a marqué l’esprit du créateur, par son charisme, sa modernité et son courage.

CibleLa marque s’adresse à une clientèle féminine et masculine et dans une moindre mesure aux enfants.

Produit phare
Zadig et Voltaire est surtout connu pour son cachemire, ainsi que pour des couleurs et des inscriptions Rock’n Roll, qui sont d’ailleurs devenues la marque de fabrique de l’enseigne. Malgré leur rapport qualité-prix souvent contesté1, certains modèles sont devenus les emblèmes de la marque, comme le T-Shirt à col Tunisien customisé, les cachemires à tête de mort ou encore les sacs Touly.

Produit dérivée
Zadig et Voltaire a élargi sa présence dans le monde artistique en créant un label musical Zadig et Voltaire Music et a sorti un disque conçu avec l’un des producteurs du groupe Daft Punk, Maravillosa de Playground, et également en créant des accessoires dans le domaine de la téléphonie mobile en partenariat avec la marque Samsung. La marque a aussi créée son parfum pour homme & femme en 2011.

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Classé dans Marque associé à Voltaire


En Octobre 1704 au collège des jésuites de Louis-Le-Grand qui était à l’époque l’établissement le mieux fréquenté de la capitale. Là-bas il fait de brillante étude ou il apprend les arts de société tel que les joutes oratoires, les plaidoyers, ou autre concours de versification, et le théâtre. Il fait également de précieuse connaissance qui lui serviront toute sa vie. On peut notamment citer parmi ces personnes René-Lous, Marc-Pierre les frères d’Argenson, qui seront de futur ministre de Louis XV ainsi que le futur duc de Richelieu pendant les 7 ans qu’il y reste.

C’est à la fin de son instruction au collège  en 1710 qu’il écrit sa toute première publication  Imitation de l’ode du R. P. Lejay sur sainte Geneviève, signée : « François Arouet, étudiant en rhétorique et pensionnaire au collège de Louis-le-Grand ». Imprimée cette ode est répandue hors les murs de Louis-le-Grand

En 1711 à l’âge de dix-sept ans François-Marie Arouet dit Voltaire annonce à son père qu’il veut être homme de lettres, et non avocat ou titulaire d’une charge de conseiller au  parlement, malgrès l’investissement pourtant considérable que ce dernier est prêt à faire pour lui. Devant l’opposition paternelle, il s’inscrit à l’école de droit et fréquente la société du Temple, qui réunit dans l’hôtel de Vendôme, descendant d’un bâtard légitimé de Henri IVet grand prieur de l’ordre de Saint Jean de Jérusalem, des membres de la haute noblesse et des poètes (dont Chaulieu), épicuriens lettrés connus pour leur esprit et leur amoralité, et amateurs de soupers galants où l’on boit sec. L’abée de Chateauneuf, son parrain, qui y avait ses habitudes, l’avait présenté dès 1708. En leur compagnie, il se persuade qu’il est né grand seigneur libertin et n’a rien à voir avec les Arouet et les gens du commun. C’est aussi pour lui une école de poésie. Il va apprendre dans ce milieu de libertins sceptiques à faire des vers « légers, rapides, piquants, nourris de référence antiques, libres de ton jusqu’à la grivoiserie, plaisantant sans retenue sur la religion et la monarchie.

Son père désside alors de  l’éloigner en l’envoyant contre son grée et malgré ces réticence  à Caen ou Voltaire fait scandale par son libertinage dans le salon de Mme d’Osseville ; il se lie avec le père de Couvrigny, jésuite, de mœurs et de doctrine suspectes. Ne sachant plus quoi faire son père désside de le confier au frère de son parrain, le marquis de Châteauneuf, qui vient d’être nommé ambassadeur à la Haye et accepte avec plaisir d’en faire son secrétaire privé. Malheureusement son éloignement ne dure pas longtemps.

Il est de retour à Noël 1713,  chassé comme un mal propre de son poste et même des Pays-Bas pour relations tapageuses avec une demoiselle dénomé Pimpette et dont la mère avait porter Plaintes. l’ambassadeur est alors obilgé de le virer Furieux, son père veut l’envoyer en Amérique mais finit par revenir à  la raison et de le placer dans l’étude d’un magistrat parisien. Il est sauvé par un ancien client d’Arouet, lettré et fort riche, M.de Caummartin, marquis de Saint-Ange, inspirée par le personnage de ce gamin rebelle qui le convainc de lui confier son fils pour tester le talent poétique du jeune rebelle. Arouet fils passe ces vacances forcées au châteaux de Saint-Ange près de Fontainebleaux à lire, à écrire et à écouter les récits de son hôte.

En 1715, à la mort du rois Louis XV c’est la régence. Arouet a 21 ans. Il est si brillant et si amusant que la haute société se dispute sa présence. Il aurait pu devenir l’ami du Régent mais se retrouve dans le camp de ses ennemis. Invité au châteaux de Sceaux, centre d’opposition le plus actif du nouveau pouvoir, où la duchesse du Maine, mariée au Duc du Maine, bâtard légitimé de louis XIV, tient une cour brillante, il ne peut s’empêcher de faire des vers injurieux sur les relations amoureuses du Régent et de sa fille, la duchesse de Berry, qui vient d’accoucher clandestinement. C’est dans ce cadre que Voltaire travaille Oedipe, et commence la Henriade.

Le 4 mai 1716, il est exilé à Tulle. Son père use de son influence auprès de ses anciens clients pour fléchir le Régent qui, bon prince, remplace Tulle par Sully-sur-Loire où il s’installe dans le château du jeune duc de Sully une connaissance du Temple, qui vit avec son entourage dans une succession de bals, de festins et de spectacles divers. À l’approche de l’hiver, il sollicite la grâce du Régent qui, sans rancune, pardonne. Le jeune Arouet recommence sa vie turbulente à Saint-Ange (Caumartin est aussi un ennemi du Régent) et à Sceaux, profitant de l’hospitalité des nantis et du confort de leurs châteaux. Mais, pris par l’ambiance, quelques semaines plus tard, il récidive. S’étant lié d’amitié avec un certain Beauregard, en réalité un indicateur de la police chargé de le faire parler, il fait la grave erreur de lui confie être l’auteur de nouveaux ouvrages de vers satiriques contre le Régent et sa fille.

Le 16 mai 1717, tombe comme un coup de massue pour lui. Il est envoyé à la Bastille par lette de cachet suite aux dénonciation de Beauregard. Voltaire a maintenant vingt-trois ans. Il  restera durant onze mois à la Bastille. Le 18 novembre de la même année Œdipe est joué avec grand succès. L’auteur de la pièce  prend le nom énigmatique de Voltaire.

Voltaire est née !

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Classé dans 1704- 1717

Présentation de Voltaire


votlaire photoVoltaire considérer encore à l’heure actuel comme un des plus grands écrivains français décrie tour à tour comme un dramaturge, un poéte satirique ou encore un philosophe voir un historien ou un moraliste. Voltaire de son vrai nom François-Marie Arouet est né officiellement le 21 novembre 1694 à Paris, d’un père Notaire. Il fut immédiatement baptisé le lendemain en l’église Saint-André-des-Arcs. Malgré qu’il prétendu plus tard avec vigueur être née le 20 Février 1694 à Chatenay-Malabry est que sont père n’était pas ce notaire mais un certain Monsieur Rochebrune mousquetaire officier du rois et client de son père. Encore aujourd’hui le doute subsiste et déchirer les historiens. Sept ans plus tard sa mère mourrait d’une grave  maladie le 13 juillet 1701. Laissant Voltaire, son frère Armand avocat au Parlement, catholique rigoriste et sa sœur, Marie, seule personne du cercle familiale qui lui ai inspiré de l’affection.

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Classé dans Présentation