Voltaire: dramaturge et philosophe


voltaire

Très inspiré par Shakespeare, Voltaire était un dramaturge et aimait beaucoup le théâtre. Son plus grand succès théâtral fut Zaïre en 1732. la pièce a été traduite dans toutes les langues européennes et jouées par les comédiens-français 488 fois jusqu’en 1936.

Si le philosophe est celui dont toutes les pensées, logiquement liées, prétendent élucider les premiers principes de toutes choses, Voltaire n’est pas un philosophe. Ce qu’il appelle philosophie est précisément le refus de la philosophie entendue comme métaphysique.

Voltaire voit la philosophie comme une morale, une morale engagée et l’exprime à travers ses œuvres que ce soit des tragédie, satire, conte, poème, dialogue, article de circonstance. Il l’exprime très clairement dans Candide. Son esprit critique se dresse contre un optimisme aveugle fondé sur un acte de foi ou sur des raisonnements à la Pangloss, ce personnage de Candide en 1759.

 Voltaire condamne tout aussi énergiquement ceux qui calomnient l’homme, les misanthropes et, croyant en un Dieu de bonté, il déteste l’ascétisme et la mortification. Il lui faut se battre sur deux fronts, puis sur trois quand entre en lice l’athéisme matérialiste.

   Une aptitude sans égale, au moment où il affirme une idée, à saisir et à préserver l’idée contraire, une adresse géniale à l’ironie, qui est le moyen d’expression de cette aptitude, telles sont les qualités de Voltaire philosophe. Sa pensée est inscrite dans l’histoire de l’humanité. Il a passionné plusieurs générations pour la justice, la liberté, la raison, l’esprit critique, la tolérance. On peut redemander encore à son œuvre toute la saveur de ces idéaux, si l’on a peur qu’ils ne s’affadissent.

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Projet Voltaire: ou comment ne plus faire de fautes d’orthographe !


« Je n’aime pas l’écriture », » j’aime pas le français » , »c’est trop dur l’orthographe »…

sont des phrases dites souvent par les élèves ayant des difficultés en orthographe ou tout simplement avec le français.

 STOP!

La solution : ProjetVoltaire.fr

projet voltaire

  PROJET VOLTAIRE.FR est  un site permet à toute personne ayant un compte sur celui-ci d’avoir à sa disposition des exercices permettant de savoir son niveau en orthographe.

Exercices, résultats et réapprentissages de langue française tous est prévu pour que les étudiants ou d’autres utilisateurs réapprennent écrire aussi bien que Voltaire.

Ce sont des exercices qui poussent à la réflexions sur les accords, les verbes… ce que voltaire voulait faire passer dans ces œuvres…la réflexion.

De multiples niveau sont développer.Si vous débloquer un niveau, c’est comme un jeu vous accéder au niveau supérieur, et ainsi de suite.

C’est un site, au couleurs et aspects motivant et sympathique.

30 min environs pendant quelques jours et la langue française n’aura plus de secret pour vous  !

www.projetvoltaire.fr

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Site Voltaire.net


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Qu’es que Voltaire.net?

C’est un réseau de presse non alignée permettant à toute personne le consultant, d’avoir une vision du monde plus ou moins  critique comme dans l’esprit qu’avant Voltaire et les autres autant pendant le siècles des Lumières.

Le fondateur Thierry Meyssan célèbre intellectuel français,   voulu spécialisé le site  dans l’analyse des relations internationales.

Actualité, problème dans le monde, de multiples question sont soulevées. De divers milieux sociaux et de cultures variés, les mebres du Réseau Voltaire se reconnaissent dans les 10 principes énoncés en 1955 par la conférence de Bandung( possibilité de les consultés sur le site; rubrique « A propos du réseau »).

« L’écriture est la peinture de la voix. »

Voltaire

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Zadig et Voltaire


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Zadig et Voltaire est une marque française de prêt-à-porter, créée en 1995 par Thierry Gillier, petit-fils d’André Gillier, le cofondateur de l’entreprise Lacoste.

Histoire
Le nom de la marque est tiré du roman de Voltaire, Zadig ou la Destinée : le personnage principal, Zadig, a marqué l’esprit du créateur, par son charisme, sa modernité et son courage.

CibleLa marque s’adresse à une clientèle féminine et masculine et dans une moindre mesure aux enfants.

Produit phare
Zadig et Voltaire est surtout connu pour son cachemire, ainsi que pour des couleurs et des inscriptions Rock’n Roll, qui sont d’ailleurs devenues la marque de fabrique de l’enseigne. Malgré leur rapport qualité-prix souvent contesté1, certains modèles sont devenus les emblèmes de la marque, comme le T-Shirt à col Tunisien customisé, les cachemires à tête de mort ou encore les sacs Touly.

Produit dérivée
Zadig et Voltaire a élargi sa présence dans le monde artistique en créant un label musical Zadig et Voltaire Music et a sorti un disque conçu avec l’un des producteurs du groupe Daft Punk, Maravillosa de Playground, et également en créant des accessoires dans le domaine de la téléphonie mobile en partenariat avec la marque Samsung. La marque a aussi créée son parfum pour homme & femme en 2011.

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Voltaire et les femmes…toute une histoire.


femme 1700

La vie et l’œuvre de Voltaire dévoilent une place intéressante accordée aux femmes.

Plusieurs de ses pièces sont entièrement dédiées aux vies exceptionnelles de femmes de pouvoir de civilisations orientales. Cette vision des femmes au pouvoir peut éclairer l’attachement de Voltaire à une femme savante comme Emilie de Chatelet.

En 1713, jeune secrétaire d’ambassade à La Haye,Voltaire s’éprend d’Olympe Dunoyer (ou du Noyer), alias Pimpette. C’est très vite le grand amour. La mère de cette jeune fille, une huguenote française exilée en Hollande, haïssant la monarchie française, va porter plainte à l’ambassadeur. Furieux, craignant un scandale, celui-ci renvoie Voltaire en France.

C’est largement grâce aux femmes que Voltaire se faufile dans la haute société de la Régence. Louise Bénédicte de Bourbon, duchesse du Maine réunissait dans son château de Sceaux une coterie littéraire qui complotait contre le duc Philippe d’Orléans. On y poussa Voltaire à exercer sa verve railleuse contre le Régent, ce qui valut à l’auteur un début de notoriété, et onze mois de Bastille

Les fréquentations féminines de Voltaire ne sont pas toutes de nature littéraire : c’est surtout pour favoriser ses affaires qu’il séduit l’épouse d’un président à mortier au parlement de Rouen, le marquis de Bernières, qu’il associe à ses spéculations, et aux ruses coûteuses déployées pour éditer La Henriade en dépit de la censure royale.

On ne peux néglier que ces oevure lui permette de rencontrée des femmes. Grâce au succès de sa première tragédie Oedipe , Voltaire fait la connaissance de la duchesse de Villars, dont il s’éprend, mais sans que la réciproque soit vraie ; reste, là aussi, l’introduction dans le cercle aristocratique éclairé gravitant autour de Charles Louis Hector, maréchal de Villars, qui recevait en son château de Vaux le Viconte .

Quant à l’amour, Voltaire s’en dit « guéri », au profit de l’amitié, qu’il cultivera effectivement toute sa vie.

Il aura  de nombreuses relations avec ces lectrices,mais aussi des actices, malgré sa santé précaire. Néanmoins il se préservait des excès même amoureux.

La relation avec Gabrielle Emilie Le Tonnelier de Breteuil ( traductirce de Nexton), marquise du Châtelet-Lomont est en revanche plus sérieuse.  Elle est mariée, mais le marquis du Châtelet est un éternel absent, elle tombe amoureuse sans mesure du prestigieux poète, qui lui est présenté en 1733, et qu’elle aimera jusqu’à sa mort, seize ans plus tard. Le château  famille des Châtelet abrite leurs amours ; Voltaire en entreprend la restauration et l’agrandissement à ses frais.

Tromperie, adultère rimerons la vie de Voltaire par la suite.

Il finira sa vie au coté de sa nièce Marie Louise Denis  avec qui il eu une relation jusqu’a la fin de sa vie . Longuement critiquée pour son physique Voltaire la révérer et ce moquait des on dis.

Ses dernières paroles de Voltaire avant sa mort fûrent pour elle  « Prenez soin de maman… « .

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Voltaire: Historien


                   Voltaire a voulu que l’histoire soit philosophique et n’a cessé de faire avancer parallèlement ses travaux historiques et ses réflexions sur les méthodes et les objectifs de l’historien. Parti d’une conception épique et dramatique, qui a pu faire dire que la Henriade était une histoire en vers et l’Histoire de Charles XII une tragédie en prose, il a voulu ensuite faire le tableau d’un moment de haute civilisation dans un pays (le Siècle de Louis XIV), puis retracer l’histoire de la civilisation dans l’univers entier, en commençant au point où Bossuet avait arrêté son Discours sur l’histoire universelle.

Voltaire voit agir dans l’histoire trois sortes de causes : les grands hommes, le hasard et un déterminisme assez complexe, où se combinent des facteurs matériels – comme le climat et le tempérament naturel des hommes – et des facteurs institutionnels, comme le gouvernement et la religion. De ces dernières causes, il ne cherche pas à démêler le « mystère » : il lui suffit d’affirmer que tout s’enchaîne. Le hasard est ce qui vient dérouter les calculs humains, les petites causes produisant les grands effets. Ici encore, Voltaire est en garde contre une explication trop ambitieuse de l’histoire. Quant aux grands hommes, ils peuvent le mal comme le bien, selon leur caractère et selon le moment où ils apparaissent. Ceux qui comptent aux yeux de l’historien sont ceux qui ont conduit leur pays à un sommet de civilisation : Périclès, Philippe de Macédoine et Alexandre le Grand dans la Grèce antique ; César et Auguste à Rome ; les Médicis au temps de la Renaissance italienne ; Louis XIV dans la France du XVIIe s.

Historien humaniste, Voltaire a établi un ordre de valeurs dans les objets dont s’occupe l’histoire, mettant au premier rang le bonheur sous ses formes les plus évoluées. Il a ainsi fait apparaître un progrès que l’historien ne doit pas seulement constater, mais auquel il doit contribuer en inspirant l’horreur pour les crimes contre l’homme. Au récit des actions commises par les « saccageurs de province [qui] ne sont que des héros » (Lettre à A.M. Thiriot, 15 juillet 1735), il a tenté de substituer le récit d’une action unique : la marche de l’esprit humain.

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En Octobre 1704 au collège des jésuites de Louis-Le-Grand qui était à l’époque l’établissement le mieux fréquenté de la capitale. Là-bas il fait de brillante étude ou il apprend les arts de société tel que les joutes oratoires, les plaidoyers, ou autre concours de versification, et le théâtre. Il fait également de précieuse connaissance qui lui serviront toute sa vie. On peut notamment citer parmi ces personnes René-Lous, Marc-Pierre les frères d’Argenson, qui seront de futur ministre de Louis XV ainsi que le futur duc de Richelieu pendant les 7 ans qu’il y reste.

C’est à la fin de son instruction au collège  en 1710 qu’il écrit sa toute première publication  Imitation de l’ode du R. P. Lejay sur sainte Geneviève, signée : « François Arouet, étudiant en rhétorique et pensionnaire au collège de Louis-le-Grand ». Imprimée cette ode est répandue hors les murs de Louis-le-Grand

En 1711 à l’âge de dix-sept ans François-Marie Arouet dit Voltaire annonce à son père qu’il veut être homme de lettres, et non avocat ou titulaire d’une charge de conseiller au  parlement, malgrès l’investissement pourtant considérable que ce dernier est prêt à faire pour lui. Devant l’opposition paternelle, il s’inscrit à l’école de droit et fréquente la société du Temple, qui réunit dans l’hôtel de Vendôme, descendant d’un bâtard légitimé de Henri IVet grand prieur de l’ordre de Saint Jean de Jérusalem, des membres de la haute noblesse et des poètes (dont Chaulieu), épicuriens lettrés connus pour leur esprit et leur amoralité, et amateurs de soupers galants où l’on boit sec. L’abée de Chateauneuf, son parrain, qui y avait ses habitudes, l’avait présenté dès 1708. En leur compagnie, il se persuade qu’il est né grand seigneur libertin et n’a rien à voir avec les Arouet et les gens du commun. C’est aussi pour lui une école de poésie. Il va apprendre dans ce milieu de libertins sceptiques à faire des vers « légers, rapides, piquants, nourris de référence antiques, libres de ton jusqu’à la grivoiserie, plaisantant sans retenue sur la religion et la monarchie.

Son père désside alors de  l’éloigner en l’envoyant contre son grée et malgré ces réticence  à Caen ou Voltaire fait scandale par son libertinage dans le salon de Mme d’Osseville ; il se lie avec le père de Couvrigny, jésuite, de mœurs et de doctrine suspectes. Ne sachant plus quoi faire son père désside de le confier au frère de son parrain, le marquis de Châteauneuf, qui vient d’être nommé ambassadeur à la Haye et accepte avec plaisir d’en faire son secrétaire privé. Malheureusement son éloignement ne dure pas longtemps.

Il est de retour à Noël 1713,  chassé comme un mal propre de son poste et même des Pays-Bas pour relations tapageuses avec une demoiselle dénomé Pimpette et dont la mère avait porter Plaintes. l’ambassadeur est alors obilgé de le virer Furieux, son père veut l’envoyer en Amérique mais finit par revenir à  la raison et de le placer dans l’étude d’un magistrat parisien. Il est sauvé par un ancien client d’Arouet, lettré et fort riche, M.de Caummartin, marquis de Saint-Ange, inspirée par le personnage de ce gamin rebelle qui le convainc de lui confier son fils pour tester le talent poétique du jeune rebelle. Arouet fils passe ces vacances forcées au châteaux de Saint-Ange près de Fontainebleaux à lire, à écrire et à écouter les récits de son hôte.

En 1715, à la mort du rois Louis XV c’est la régence. Arouet a 21 ans. Il est si brillant et si amusant que la haute société se dispute sa présence. Il aurait pu devenir l’ami du Régent mais se retrouve dans le camp de ses ennemis. Invité au châteaux de Sceaux, centre d’opposition le plus actif du nouveau pouvoir, où la duchesse du Maine, mariée au Duc du Maine, bâtard légitimé de louis XIV, tient une cour brillante, il ne peut s’empêcher de faire des vers injurieux sur les relations amoureuses du Régent et de sa fille, la duchesse de Berry, qui vient d’accoucher clandestinement. C’est dans ce cadre que Voltaire travaille Oedipe, et commence la Henriade.

Le 4 mai 1716, il est exilé à Tulle. Son père use de son influence auprès de ses anciens clients pour fléchir le Régent qui, bon prince, remplace Tulle par Sully-sur-Loire où il s’installe dans le château du jeune duc de Sully une connaissance du Temple, qui vit avec son entourage dans une succession de bals, de festins et de spectacles divers. À l’approche de l’hiver, il sollicite la grâce du Régent qui, sans rancune, pardonne. Le jeune Arouet recommence sa vie turbulente à Saint-Ange (Caumartin est aussi un ennemi du Régent) et à Sceaux, profitant de l’hospitalité des nantis et du confort de leurs châteaux. Mais, pris par l’ambiance, quelques semaines plus tard, il récidive. S’étant lié d’amitié avec un certain Beauregard, en réalité un indicateur de la police chargé de le faire parler, il fait la grave erreur de lui confie être l’auteur de nouveaux ouvrages de vers satiriques contre le Régent et sa fille.

Le 16 mai 1717, tombe comme un coup de massue pour lui. Il est envoyé à la Bastille par lette de cachet suite aux dénonciation de Beauregard. Voltaire a maintenant vingt-trois ans. Il  restera durant onze mois à la Bastille. Le 18 novembre de la même année Œdipe est joué avec grand succès. L’auteur de la pièce  prend le nom énigmatique de Voltaire.

Voltaire est née !

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Classé dans 1704- 1717

Candide 1759


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Candide est une œuvre philosophique de Voltaire datant de 1759

Il y avait en Vestphalie, dans le château de monsieur le baron de Thunder-ten-tronkh, un jeune garçon à qui la nature avait donné les meurs les plus douces. Telles sont les premières lignes du chapitre premier de l’oeuvre. Il s’en va à ne point douter qu’iln s’agisse de ce jeune homme Candide, un garçon naïf, est élevé au château du baron Thunder-ten-tronckh en Westphalie. Là, Pangloss lui apprend la philosophie

de Leibnitz e

t Candide est fasciné du meilleur des mondes possibles.

Malheureusement, Candide ne pourra épouser sa bien-aimée, nommée Cunégonde, fille du baron, parce qu’il était d’origine incertaine, un discrédit pesait sur sa naissance. D’autant plus qu’à cette époque, la noblesse ne se mélangeait pas avec  le peuple.

Candide et Cunégonde se livraient alors à leurs folies en cachette jusqu’au jour où ils furent surpris jusqu’au jour où  Candide fut chassé du château du baron.

C’est alors, que sans comprendre quoi que se soit à l’affaire, Candide se voit rejoindre les rangs de l’armée bulgare se battant contre des ennemis qu’il ne connaissait même pas. Par la suite, il apprend que Cunégonde a été éventrée et a également été s

pectateur de la pendaison de son maître et précepteur Pangloss…

Nul s’attendait à voir resurgir des morts, et pourtant, sans explication aucune, ces deux personnages referont surface dans la suite de l’histoire.

C’est ainsi que Candide se laisse traîner à travers le monde, allant de Russie, au Brésil en passant par Lisbonne. il assiste à la boucherie de la guerre. Il s’enfuit et est recueilli par Jacques . Il retrouve Pangloss réduit à l’état de vieillard, atteint de la vérole qui lui apprend la mort de Cunégonde, violée par des soldats bulgares. Ils embarquent avec Jacques pour Lisbonne

Après une tempête dans laquelle meurt noyé Jacques, ils arrivent à Lisbonne le jour du tremblement de terre et sont victimes d’une autodafés  durant lequel Pangloss est pendu. Candide retrouve Cunégonde, maitresse d’un grand inquisiteur et d’un riche juif : don Issachar 12.

Il est amené à tuer les deux hommes et s’enfuit avec Cunégonde et sa vieille servante vers Cadix en Espagne. Il embarque avec son valet Cacambo, Cunégonde et sa vieille servante pour le Paraguay

. Contraint d’abandonner Cunégon

de à Buenos Aires , il s’enfuit avec Cacambo au Paraguay. Ils y retrouvent le frère de Cunégonde que Candide transperce d’un coup d’épée, s’échappent, évitent de peu d’être mangés par les sauvages Oreillons et découvrent le pays dEldorado Ils y sont heureux mais préfèrent le quitter avec toutes les richesses pour retrouver Cunégonde.

    A Surinam il fait connaissance avec le philosophe Martin, qui pense que ‘’tout est mal dans le pire des mondes possibles’’. A Constantinople ils retrouvent enfin Cunégonde, Pangloss, le baron et un vieux sage turc qui leur conseille de ‘’cultiver son jardin’’, ce qui veut dire de ne s’encombrer ni de politique ni de philosophie. Alors ils s’y installent dans une métairie et Candide se marie finalement avec Cunégonde.

Candide lieu où Voltaire exprime et rapporte l’esprit critique du siècle des Lumières.

L’optimisme métaphysique de Leibnit

z est rudement critiqué, » le mal viens de l’homme il sont intolérants… »…

Dans cette ouvrage, il parodie le merveilleux avec » l’Eldorado », parodie du roman sentimental, car Cunégonde deviens laide.

Cette oevure est encore de nos jours un livre étudier à l’école, pour son écriture, sa vision du siècles des Lumières mais aussi pour permettre aux élèves d’avoir une réfléxionsur l’optimisme.

« Ceuxqui ont avancé  que tout  est bien ont dit une sotisse: il faut dire que tout est au mieux. »

Voltaire. Candide

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Classé dans Focus sur l'oeuvre Candide

Succès littéraires


Voltaire

Esprit universel ayant marqué le siècle des lumières, défenseur acharné de la liberté individuelle et de la tolérance, Voltaire a beaucoup de succès auprès de la bourgeoisie libérale. Il laisse une oeuvre considérable. A cause de la censure, la plupart de ses écrits étaient interdits. Ils étaient publiés de manière anonyme, imprimés à l’étranger et introduits clandestinement en France.

Début de sa carrière : à partir de 1715, il fréquente les milieux libertins et les salons littéraires, compose des écrits satiriques qui le conduisent à la Bastille. En prison, il rédige Œdipe (1717). Il fait des voyages en Europe et connaît des intrigues de cour. Il continue à écrire pour le théâtre et commence une épopée, la Ligue (1723), première version de la Henriade (1728). Une altercation avec le chevalier de Rohan-Chabot lui vaut douze jours à la Bastille, puis l’exil en Angleterre (1726).

Premiers succès : rentré en France en 1728, il fait jouer son théâtre ; il triomphe avec sa pièce Zaïre (1732). Il se retire à Cirey, chez Mme du Châtelet. Les Lettres philosophiques connaissent un succès de scandale (1734), de même que le poème provocateur le Mondain (1736).
Tournant de sa carrière : il est rappelé à Paris où il est nommé historiographe du roi (1745). Parallèlement à son travail d’historien (le Siècle de Louis XIV, 1752 ; Essai sur les mœurs et l’esprit des nations, 1756), il commence à rédiger des contes satiriques (Zadig, 1748 ; Micromégas, 1752). Il accepte l’invitation de Frédéric II de Prusse et part pour Potsdam (1750). En 1755, il s’installe en Suisse, où sera publié Candide (janvier 1759) et, enfin, dans un village français près de la frontière suisse, Ferney (décembre 1758-février 1759).

Dernière partie de sa carrière : devenu l’« hôte de l’Europe », il intervient dans des « affaires » (Calas, Sirven, La Barre). Il poursuit son combat en faveur de la tolérance (Traité sur la tolérance, 1763 ; Dictionnaire philosophique portatif, 1764) sans toutefois abandonner le conte (l’Ingénu, 1767). Il meurt le 30 mai 1778. Treize ans plus tard, en 1791, ses restes sont transférés solennellement au Panthéon.

Principales oeuvres :

  • Oedipe (1718)
  • Brutus (1730)
  • L’Histoire de Charles XII (1731)Duplessis, le Triomphe de Voltaire
  • Zaïre (1732)
  • Epîtres à Uranie (1733)
  • Lettres philosophiques (1734)
  • La mort de César (1735)
  • Discours sur l’homme (1738)
  • Zadig (1747)
  • Nanine (1749)Voltaire
  • Le siècle de Louis XIV (1751)
  • Micromégas (1752)
  • La Pucelle d’Orléans (1752)
  • Essai sur les moeurs et l’esprit des nations (1756)
  • Candide (1759)
  • Traité sur la tolérance (1763)
  • Dictionnaire philosophique(1764)
  • Jeannot et Colin (1764)
  • L’ingénu (1767)

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Présentation de Voltaire


votlaire photoVoltaire considérer encore à l’heure actuel comme un des plus grands écrivains français décrie tour à tour comme un dramaturge, un poéte satirique ou encore un philosophe voir un historien ou un moraliste. Voltaire de son vrai nom François-Marie Arouet est né officiellement le 21 novembre 1694 à Paris, d’un père Notaire. Il fut immédiatement baptisé le lendemain en l’église Saint-André-des-Arcs. Malgré qu’il prétendu plus tard avec vigueur être née le 20 Février 1694 à Chatenay-Malabry est que sont père n’était pas ce notaire mais un certain Monsieur Rochebrune mousquetaire officier du rois et client de son père. Encore aujourd’hui le doute subsiste et déchirer les historiens. Sept ans plus tard sa mère mourrait d’une grave  maladie le 13 juillet 1701. Laissant Voltaire, son frère Armand avocat au Parlement, catholique rigoriste et sa sœur, Marie, seule personne du cercle familiale qui lui ai inspiré de l’affection.

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